Utilisateur:Fauve/Polyglyphe

De Disposition de clavier bépo

Poséidon est un langage formel permettant de décrire une suite de touche tapée de quelque manière que ce soit en rendant compte des combinaisons de touches, à ce titre, il présente une alternative à la traditionnelle forme « clavier bépoCtrl+clavier bépoAlt+clavier bépoL » en dépassant ses limites. Poséidon ce veut donc simple à comprendre à la lecture. Il s’agit donc d’une notation de keylogger.

J'ai créé ce langage de toute pièce car jusque là il n'y avait aucun autre qui permettait manière précise, simple, sans équivoque et universelle de décrire quelles touches il faut taper et dans quel ordre, ou sinon la très rudimentaire forme "Ctrl+ALt+X", qui avait beaucoup de limites.

Principe de base

D’abbord, toute séquence Poséidon, affin d’étre identifiée comme telle est déllimitée par des guillemets français sans éspace insécable soit : “«séquence»”.


Poséidon désigne les touches alphanémériques par le caractère que renvoient celle-ci lorceque le verrouillage majuscule est activé, car Poséidon est sensible à la casse. Ainsi, la touche « a » est désignée par le caractère «A» ; la touche « / » (sous bépo) est désignée par «9» ; la touche « $ » (sous bépo) est désignée par «#» ; Quand la touche « & » (de l’AZERTY cette fois-ci) est désignée par «1». Pour les touches « spéciales » (C’est à dire autres qu’alphanumériques), Poséidon substitue au diverses mentions « Ctrl », « Alt », « Alt Gr » et de toutes les autres touches spéciales des pictogrammes les représentant. Par éxemple, nous avons réspectivement, pour clavier bépoCtrl et clavier bépo[1] Alt] les simboles «⎈» et «⎇». [La liste éxaustive des correspondances se trouvant plus bas]. Néanmoins, comme certaines touches, pourtant importante, n’ont pas de simbole corréspandant, il leur a été prévu une notation et c’est là où intervient la sensibilité à la casse de Poséidon. Le cas typique d’une telle lacunne est la touche clavier bépoAlt Gr pour laquelle Poséidon attribue la notation «⎇gr». Le cas des touches des touches de fonction est traité plus en bas.

L'intérêt du pictogramme par rapport à la mention en toute lettre est que la mention peut prêter à confusion avec les touches des lettres qui la composent (par exemple, clavier bépoCtrl, sans la mise en forme qu'il y a dans cette page web, peut prêter à confusion avec clavier bépoC+clavier bépot+clavier bépor+clavier bépol ). D'autre part le pictogramme peut aussi labelliser la touche et est universel, se comprends quelque soit la langue de formation de l'utilisateur. L’autre argument m’ayant inciter à obter pour les pictogrammes est que ceux-ci, par la brièveté de leur glyphes sont plus lisibles qu’une suite de lettre. Donc le langage Poséidon accorde un symbole par touche.


Dés lors, en Poséidon, clavier bépoCtrl+clavier bépoAlt+clavier bépoL s'écrira simplement «⎈⌥L», ce qui veut dire littéralement « On appuie sur contrôle, puis on la lâche, on appuie sur Alt puis on la lâche, et enfin sur L que l'on lâche ».

Si, en revanche on veut décrire une « combinaison de touches » (c'est à dire que l'on veut signifier qu'une touche est maintenue pressée quand on appuie sur une autre), on mettra la touche maintenue enfoncée « en fonction ». Ainsi, pour dire « On appuie sur Ctrl que l'on maintien appuyé, puis l'on appuis sur Alt que l'on lâche (alors que Ctrl est toujours enfoncée), puis sur L que l'on lâche, avant de lâcher Ctrl » On écrira simblement «⎈(⌥L)». La touche contrôle à été mise en fonction et les touches alt et L on été mise dans la fonction de la touche contrôle. Évidement, on peut mètre une formation à l'intérieur d'une autre formation, par exemple, pour dire « On maintient Contrôle appuyée, puis on maintient Alt appuyé puis on appuie sur L et le lâchont, puis on lâche Alt et Ctrl » on aurait plutôt écrit «⎈(⌥(L))». On peut aussi dire « On appuis sur Ctrl que l'on maintien enfoncée, puis sur alt que l'on maintient enfoncée, puis on lâche Ctrl, avant d'appuyer sur L et de la lâchée puis de lâcher Alt » de la manière «⎈(⌥)(L)» (Ici la deuxième paire de parenthèse contient les touches que l'on appuis alors que ⌥ est maintenu enfoncé et que ⎈ fut déja laché).


Avec ce système, on peut donc séquencer toute possibilité de frape comme par exemple la séquence suivante :

«j'écris␣dans␣vim␣sur␣le␣TTY1␣puis␣je␣passe␣au␣mode␣visuel⎋iet␣repasse␣au␣mode␣d'insertion␣avant␣de␣me␣rendre␣à␣un␣autre␣TTY⎈(⌥(F4))fove49⏎monMotDePasseJeNelecriraisPasIci;)⏎vi↹⏎i⌘cccp⎋:wq»

Ce qui veux dire littéralement que :

l'utilisateur a écrit "j'écris dans vim sur le TTY1 puis je passe au mode visuel" puis il a appuyé sur la touche {{t|echap}} (⎋), puis sur la touche I et il a écrit "et repasse au mode d'insertion avant de me rendre à un autre TTY", puis a fait un petit {{t|Ctrl}}+{{t|Alt}}+{{t|FA}} ou plutôt « ⎈(⌥(F4)) », là il a écrit "fove49" puis il a taper "Entrée", puis il a taper "monMotDePasseJeNelecriraisPasIci;)" suivit d'{{t|Entrée}}, puis il a écrit "vi", suivit de {{t|tabulation}} et {{t|Entrée}}, puis il a taper la lettre "i", suivit de la touche {{t|compose}} "⌘" suivie des lettres CCCP, puis echap, puis deux point puis les lettres wq

Correspondance entre pictogramme et touche

Voici le tableau de correspondances entre les pictogrammes et les touches auquelles ils renvoient, à savoir que ces symboles ont, pour la plus part étés standardisés par Unicode pour les touches qui leur sont associées et se trouvent sur la plage 2000 :


Principales touches

clavier bépo = clavier bépoCtrl

clavier bépo = clavier bépoRetour de Chariot

clavier bépo = clavier bépoEntrée

clavier bépo = clavier bépoCompose Claviers UNIX


clavier bépo = clavier bépoAlt

clavier bépo = clavier bépoEspace


Touches systèmiques

clavier bépo = clavier bépoEsc

clavier bépo = clavier bépoPause

clavier bépo = clavier bépobreak

Principaux modificateurs

clavier bépo = clavier bépoTerr num

clavier bépo = clavier bépoMaj

clavier bépo = clavier bépoVerr Maj

clavier bépo = clavier bépo3ème niveau

clavier bépo = clavier bépoVerr 3ème niveau


Touches navigatrices

clavier bépo

clavier bépoTouches directionnelles

clavier bépo

clavier bépo


clavier bépo

clavier bépoTouches de défilement

clavier bépo

clavier bépo


Touches de saisie

clavier bépo = clavier bépoBackspace

clavier bépo = clavier bépoDel

clavier bépo = clavier bépoInser

clavier bépo = clavier bépoclear Assez rare

clavier bépo = clavier bépoImprim écr Syst


clavier bépo = clavier bépoTab

clavier bépo = clavier bépoantiTab


Touches spécifiques à Poséidon

clavier bépo = clavier bépoTouche de séquençage

Autre touches spécifiques

clavier bépo = clavier bépoÉjecter le média

clavier bépo = clavier bépométa Spécifique aux machines du constructeur Sun Microsystems

clavier bépo = clavier bépoOption Spécifique au clavier du constructeur Apple Inc.

clavier bépo = clavier bépoCommande Spécifique au clavier de la marque Apple Inc.

Touches désignée par plus d’un caractère

Comme unicode ne prévoit pas de pictogramme pour toutes les touches même parmis les plus utilisées, des solutions éxistent et sont listée ci-dessous, dans le cas général il s’agirat de délimiter une mention par des chevrons ce qui constitue aussi [la méthode d’éxpression de Poséidon en ASCII]

clavier bépo⎇gr = clavier bépoAlt GR

Séquençage des keycodes

Une autre fonctionnalité sous-jascente de Poséidon est de décrire, non pas les touches à tapper telles qu’elles sont labélisées sur tout clavier, mais les touches à tapper telles quelles sont labélisées sur une disposition donnée, il s’agit là proprement d’un alias sur le keycode. Dans ce mode, il s’agit d’avantage de la touche phisique désignée par le label lui étant attribué par une disposition donnée. Cette disposition est éxprimée en préambule, entre crochets, juste aprés les guillemets ouvrants et séparée de la séquence par une éspace, de préférence insécable.

Par éxemples «[azerty] truc» = «[bépo] èovx». Plus annécdotiquement «[azerty] azerty» = «[bépo] bépo» = «[qwerty] qwerty».

Chronométrage

Pour des besoin, particulier de statistique ou de précison, la notation Poséidon permet aussi de déffinir en seconde, le temps que dure chacune des action que sont le temps de préssion, le temps d’attente aprés préssion et le temps d’attente aprés relachement.


Le temps pendant lequel on maintient une touche appuyée est exprimé en seconde entre crochés, immédiatement après le pictogramme d'une touche. Par exemple «⎈[1](⌥[1]L[2])».

Il est aussi possible de spécifier combien de temps on a attendu entre l'appuis sur une touche et l'appuis sur la touche suivante en spécifiant, entre les mêmes crochets que ci-dessus, mais aprés une barre vérticale, ce temps là en seconde. Par exemple : «⎈[1|2](⌥[|3]L)», remarquez que dans les seconds crochets la barre vérticale n’est précédée d’aucun chiffre et est dirrécetement suivie du chiffre « 3 », cela veut tout simplement dire que le chiffre suivant immédiattement la barre vértical désigne le temps d’attente, tandisque le temps de préssion est facultatif.

Enfin, le temps d’attente entre le relachement d’une touche et la préssion sur celle la succédant est déffinit aprés une deuxième barre oblique : «⎈[||1]»


En résumé voici les position des durée des différentes actions (à noté que toute son facultative, si ce n’est que le temps d’attente aprés relachement qui interesse l’utilisateur, il suffit de le faire précéder de deux barres obliques) :

«⎈[x|y|z]⌥»

x : Temps de préssion de la touche ⎈. y : Temps entre l’apuis sur la touche ⎈ et l’apuis sur la touche ⌥. z : Temps entre le relachement de la touche ⎈ et l’apuis sur la touche ⌥.

Cas des interfaces ASCII ou ne disposant pas d’Unicode

À l’origine, l’utilisation de pictogramme est le moyen le plus simple de consilier la lisibilité à un language formel. Évidement, utiliser Poséidon présuppose dés lors d’avoir un terminal supportant Unicode ou tout du moins un jeux de caractère incluant tous les pictogrammes nécéssaire au vocabulaire de Poséidon… ce qui est loin d’étre toujours aquis. C’est pourquoi, dans ces cas la, les pictogrammes sont substitués par les mentions traditionnelle délimités par des chevrons « < » et « > ».

«⎈» deviendra «<Ctrl>» et par voie de conséquence «⎈(⌥(L))» deviendra «<Ctrl>(<Alt>(L))». De toute évidence, Poséidon étant un language formel il est facile d’automatiser la conversion d’une séquence Poséidon vers un autre format.

Détail des possibilité

Dans cette section il s'agira moins de décrire une séquence réelle telle que peut la relevé un séquenceur Poséidon que la manière de décrire, avec le langage Poséidon, les différentes possibilité que l'on a, sachant que le détaille des possibilités est toujours éxprimé entre accolades.


Par exemple si l'on veut préciser qu'il faille appuyer sur la touche P et B successivement mais que l'ordre n'a pas d'importance on utilisera le symbole "&" : «{P&B}» cela veut dire que « Il faut appuyer sur l'une des touches P et B puis sur l'autre, sans préférence pour l'ordre ». Cela peut évidement ce généraliser à plus de deux lettres «{P&B&M&f}».

Si l'on veut dire qu'il faille appuyer sur la touche P et B successivement, que l'ordre n'a pas d'importance mais que, de la première à la dérnière touche il ne faudra relachée aucune dés qu’elle est enfoncée, on utilisera des parenthèses à l'intérieur des accolade : «{(P&B)}» ou «{(P&B&C)}».

Enfin si l'on veut spécifier que seule une et une seule des touche P et B doit étre enfoncée mais sans préférence pour l'une ou pour l'autre on utilisera le symbole "|" à l'intérieure des accolades : «{P|B}» ou «{P|B|C|D}».

Moyens d'écrire une séquence Poséidon

Jusque là me direz-vous que c'est bien beau ce système mais tous les caractères Unicode auquel il fait appel ne sont pas forcement toujours accessibles, c'est la qu'interviennent deux solutions que sont soit un programme spécifique au séquençage, soit une touche/raccourci-clavier qui écrivent une séquence :

Programme de séquençage

Son principe est simple, une fois le programme ouvert, il permet d'actionner un mode de séquençage durant lequel on taperait au clavier la séquence même que l'on voudrait obtenir, on apuirait donc simplement sur les touche même que l'on voudrait voir apparaitre dans la séquence finale et, au sortir de ce mode, le programme de séquençage fournirait la séquence correspondante a notre frape. Évidement, pendant que ce mode est activé, l'appuis sur quelque touche que ce soit n'exécute pas l'action normale de cette touche, par exemple l'appuis sur la touche clavier bépopower, n'éteint pas l'ordinateur mais ajoute cette touche à la séquence.

Touche de séquençage

Cela pourrait être aussi bien une touche ou un raccourcis clavier qui, une fois actionné(e) fait entrer l'utilisateur dans le mode de séquençage, tout comme avec le programme de séquençage. Dans ce mode ce n'est plus les actions des touches qui s'effectuent quand on appuie sur celles-ci mais c'est la séquence de frape qui s'affiche à l'écran. Pour sortir de ce mode de séquençage, il suffit de ré-appuyer sur la touche de séquençage.

Si, on revanche on veut que ce soit la touche de séquençage même qui soit séquencée il faudra appuyer dessus deux fois successives. Cette touche est notée en Poséidon « ⌨ ».

Possibilité offertes par Poséidon

L'intérêt évident de Poséidon est, outre la possiblitée d’éxprimer sans équivoque des séquences de frappe, d’étre standardisé, auquel cas, beaucoup de chose serait permises. Par exemple, on pourrait utiliser ces séquences comme des macros, ou alors un logiciel spécifique à "Poséidon" pourrait, au cas où on lui fournirait une séquence, exécuter celle-ci etc. D’autre part, les différents programmes informatiques reconnaitraient les séquences poséidon et prévoiraient des fonctionnalitées à cet éffet, tel un client de clavardage qui propose, dés qu’une séquence est détéctée dans un message de reçu de l’éxécutée ou de la copiée dans le presse-papier etc.