Utilisateur:Arbiel Perlacremaz

De Disposition de clavier bépo
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J'ai créé un clavier pour la saisie du grec polytonique en suivant une voix particulière. Je ne l'ai pas encore testé de manière approfondie et peut-être n'est-il pas aussi pratique que je l'espère.

Le premier principe ne déroge pas aux principes des autres claviers : mettre en correspondance les lettres grecques avec les lettres latines qui leur correspondent directement, à savoir les treize lettres suivantes :

a d g i k l m n o p r t u α δ γ ι κ λ μ ν ο π ρ τ υ

À ces treize lettres, il faut ajouter d'une part les deux voyelles, e et é, ainsi que les deux lettres auxquelles correspondent deux glyphes en fonction de leur place dans les mots, b, avec ϐ et β, et s, avec σ et ς.

Pour ce qui concerne e et é, j'ai retenu respectivement "e" pour "ε" et "é" pour "η", ce qui doit probablement être la situation la plus courante, malgré la prononciation qui inciterait plutôt à retenir "é" pour "ε" et "ê" pour "η". Pour ce qui concerne "b" et "s", j'ai choisi de faire la correspondance avec les glyphes a priori les plus fréquentes, à savoir ϐ et σ.

Le deuxième principe consiste à privilégier la mémorisation des autres lettres par rapport à la facilité de frappe. En conséquence, j'ai défini une touche de composition pour créer

ψ à partir de la séquence πσ ξ à partir de la séquence κσ ζ à partir de la séquence δσ

Considérant par ailleurs que l'esprit rude correspond à une aspiration, j'utilise la touche muette "esprit rude" pour créer

θ à partir du τ χ à partir de κ φ à partir de π

J'ai étendu la signification de cette touche muette "esprit rude" qui porte en général sur l'initiale des voyelles (sauf pour les diphtongues) et du "ρ" et je l'utilise pour produire

β à partir de ϐ ς à partir de σ

Enfin j'ai placé le "ω" à la droite de "ο".

Le troisième principe repose sur le fait qu'à l'exception de la plupart des enclitiques, chaque mot grec comprend au moins une lettre portant un caractère diacritique. Pour