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De Disposition de clavier bépo
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À ce moment-là, je découvre l'existence du clavier BÉPO. Je me dis que l'idée est formidable, et je me décide à sauter le pas en juillet. Je remplace donc mes anciens pilotes de clavier par le BÉPO, et ne travaille plus du tout sur AZERTY depuis. Dès les premières minutes, j'ai l'impression que mes doigts bougent beaucoup moins sur le clavier, et je ressent un confort supplémentaire. Après environ 2 mois de galère, où il est évident que je perd un temps fou à chercher mes touches, je recommence à taper à une allure respectable. Après 6 mois, ma frappe sur BÉPO est presqu'aussi rapide (plus rapide, en fait, pour les caractères les plus courants, un peu moins pour les caractères rares) que lorsque j'utilisais un AZERTY. Je n'arrive plus, d'ailleurs, à utiliser un clavier AZERTY sans faire de fautes, et ne sais plus frapper à l'aveugle dessus. Mais cela ne me gêne absolument pas, l'installation du pilote BÉPO étant de toutes façons suffisamment simple pour palier à ce genre de problèmes.
À ce moment-là, je découvre l'existence du clavier BÉPO. Je me dis que l'idée est formidable, et je me décide à sauter le pas en juillet. Je remplace donc mes anciens pilotes de clavier par le BÉPO, et ne travaille plus du tout sur AZERTY depuis. Dès les premières minutes, j'ai l'impression que mes doigts bougent beaucoup moins sur le clavier, et je ressent un confort supplémentaire. Après environ 2 mois de galère, où il est évident que je perd un temps fou à chercher mes touches, je recommence à taper à une allure respectable. Après 6 mois, ma frappe sur BÉPO est presqu'aussi rapide (plus rapide, en fait, pour les caractères les plus courants, un peu moins pour les caractères rares) que lorsque j'utilisais un AZERTY. Je n'arrive plus, d'ailleurs, à utiliser un clavier AZERTY sans faire de fautes, et ne sais plus frapper à l'aveugle dessus. Mais cela ne me gêne absolument pas, l'installation du pilote BÉPO étant de toutes façons suffisamment simple pour palier à ce genre de problèmes.


J'utilise actuellement, chez moi comme au travail, la version 0.6.4 officielle, avec les autocollants que l'on a commandé, ce qui fait que j'ai vraiment physiquement « vrai clavier Dvorak ». C'est aussi la raison pour laquelle je traine un peu des pieds pour prendre les nouvelles versions.
Jusqu'au mois de juillet 2009, j'utilise, chez moi comme au travail, la version 0.6.4 officielle, avec les autocollants que l'on a fait spécialement faire, ce qui fait que j'ai vraiment physiquement un « vrai clavier Dvorak ». C'est aussi la raison pour laquelle je traine un peu des pieds pour prendre les nouvelles versions.
 
Cependant, avec la sortie officielle de la version 1, l'inclusion de cette version dans les mises à jour automatiques de Xorg et l'édition des planches d'autocollants par [https://catalogue-ca.beaujoie.com/produits/recherche?action=recherche_simple&mots_cles=b%E9po Beaujoie], je fini quand même par me mettre à jour !

Version du 17 juillet 2009 à 10:02

Fervent défenseur de l'espéranto, je veille en particulier à ce que le BÉPO permette de taper sans trop de difficultés les quelques caractères spécifiques de cette langue.

En juin 2007, cela fait plus de 20 ans que je « parle » aux ordinateurs par l'intermédiaire d'un clavier AZERTY, et je suis capable d'effectuer une frappe à l'aveugle, en utilisant mes 10 doigts, avec un assez bon rythme. Je possède chez moi, comme sur mon lieu de travail des claviers prétendus « ergonomiques » (les claviers tordus à la mode Microsoft Natural Keyboard) parce que j'ai plusieurs fois ressenti des douleurs au niveau des poignets, les jours où je faisais beaucoup de frappe.

À ce moment-là, je découvre l'existence du clavier BÉPO. Je me dis que l'idée est formidable, et je me décide à sauter le pas en juillet. Je remplace donc mes anciens pilotes de clavier par le BÉPO, et ne travaille plus du tout sur AZERTY depuis. Dès les premières minutes, j'ai l'impression que mes doigts bougent beaucoup moins sur le clavier, et je ressent un confort supplémentaire. Après environ 2 mois de galère, où il est évident que je perd un temps fou à chercher mes touches, je recommence à taper à une allure respectable. Après 6 mois, ma frappe sur BÉPO est presqu'aussi rapide (plus rapide, en fait, pour les caractères les plus courants, un peu moins pour les caractères rares) que lorsque j'utilisais un AZERTY. Je n'arrive plus, d'ailleurs, à utiliser un clavier AZERTY sans faire de fautes, et ne sais plus frapper à l'aveugle dessus. Mais cela ne me gêne absolument pas, l'installation du pilote BÉPO étant de toutes façons suffisamment simple pour palier à ce genre de problèmes.

Jusqu'au mois de juillet 2009, j'utilise, chez moi comme au travail, la version 0.6.4 officielle, avec les autocollants que l'on a fait spécialement faire, ce qui fait que j'ai vraiment physiquement un « vrai clavier Dvorak ». C'est aussi la raison pour laquelle je traine un peu des pieds pour prendre les nouvelles versions.

Cependant, avec la sortie officielle de la version 1, l'inclusion de cette version dans les mises à jour automatiques de Xorg et l'édition des planches d'autocollants par Beaujoie, je fini quand même par me mettre à jour !