« Normalisation » : différence entre les versions
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En français, on distingue les notions de « norme » et de « standard ». L'équivalent phonétique anglais ''normalization'' est un piège. La traduction correcte de « normalisation » est ''standardization'' et le terme ''normalization'' n'existe tout simplement pas, si bien que l'anglais ne fait pas de distinction claire entre ''norm'' et ''standard''. Il faut donc, en plus de retenir la traduction anglaise correcte (''standardization'', avec un ''z''), tenter de comprendre ce que nous autres ''froggies'' plaçons comme subtile nuance entre norme et standard : | En français, on distingue les notions de « norme » et de « standard ». L'équivalent phonétique anglais ''normalization'' est un piège. La traduction correcte de « normalisation » est ''standardization'' et le terme ''normalization'' n'existe tout simplement pas, si bien que l'anglais ne fait pas de distinction claire entre les porcessus de création d'une ''norm'' et d'un ''standard''. Il faut donc, en plus de retenir la traduction anglaise correcte (''standardization'', avec un ''z''), tenter de comprendre ce que nous autres ''froggies'' plaçons comme subtile nuance entre norme et standard : | ||
* une '''norme''' est issue d'un organisme de normalisation, qui en donne une définition technique dans des documents disponibles publiquement : une norme est donc intrinsèquement ouverte. Les normes ISO en sont un exemple célèbre. Une norme résulte d'un travail collectif réunissant plusieurs acteurs concernés par le sujet de la-dite norme. C'est en somme un consensus volontaire, dont l'application/implémentation est toutefois plus ou moins triviale (difficultés techniques, mauvaises volontés ''a posteriori'', etc.) ; | * une '''norme''' est issue d'un organisme de normalisation, qui en donne une définition technique dans des documents disponibles publiquement : une norme est donc intrinsèquement ouverte. Les normes ISO en sont un exemple célèbre. Une norme résulte d'un travail collectif réunissant plusieurs acteurs concernés par le sujet de la-dite norme. C'est en somme un consensus volontaire, dont l'application/implémentation est toutefois plus ou moins triviale (difficultés techniques, mauvaises volontés ''a posteriori'', etc.) ; | ||
* un '''standard''' est un format ou une méthodologie d'usage si répandu qu'il est devenu ''de facto'' « la norme » au sens courant du terme. Il est défini par un industriel ou un groupe d'industriels, sans concertation aucune avec les acteurs tiers et concurrents (ou au mieux avec une concertation limitée). Il sert avant tout les intérêts concurrentiels de son créateur. Un standard est le plus souvent une « boîte noire » car il n'est pas rattaché à une définition publique et peut évoluer arbitrairement, ce qui réduit voire détruit l'[[wp:interopérabilité|interopérabilité]]. Un exemple bien connu de standard est le format de fichier texte .doc du logiciel Microsoft Word.}} | * un '''standard''' est un format ou une méthodologie d'usage si répandu qu'il est devenu ''de facto'' « la norme » au sens courant du terme. Il est défini par un industriel ou un groupe d'industriels, sans concertation aucune avec les acteurs tiers et concurrents (ou au mieux avec une concertation limitée). Il sert avant tout les intérêts concurrentiels de son créateur. Un standard est le plus souvent une « boîte noire » car il n'est pas rattaché à une définition publique et peut évoluer arbitrairement, ce qui réduit voire détruit l'[[wp:interopérabilité|interopérabilité]]. Un exemple bien connu de standard est le format de fichier texte .doc du logiciel Microsoft Word.}} |
Version du 28 août 2009 à 12:13
À propos du vocabulaire utilisé. En français, on distingue les notions de « norme » et de « standard ». L'équivalent phonétique anglais normalization est un piège. La traduction correcte de « normalisation » est standardization et le terme normalization n'existe tout simplement pas, si bien que l'anglais ne fait pas de distinction claire entre les porcessus de création d'une norm et d'un standard. Il faut donc, en plus de retenir la traduction anglaise correcte (standardization, avec un z), tenter de comprendre ce que nous autres froggies plaçons comme subtile nuance entre norme et standard :
- une norme est issue d'un organisme de normalisation, qui en donne une définition technique dans des documents disponibles publiquement : une norme est donc intrinsèquement ouverte. Les normes ISO en sont un exemple célèbre. Une norme résulte d'un travail collectif réunissant plusieurs acteurs concernés par le sujet de la-dite norme. C'est en somme un consensus volontaire, dont l'application/implémentation est toutefois plus ou moins triviale (difficultés techniques, mauvaises volontés a posteriori, etc.) ;
- un standard est un format ou une méthodologie d'usage si répandu qu'il est devenu de facto « la norme » au sens courant du terme. Il est défini par un industriel ou un groupe d'industriels, sans concertation aucune avec les acteurs tiers et concurrents (ou au mieux avec une concertation limitée). Il sert avant tout les intérêts concurrentiels de son créateur. Un standard est le plus souvent une « boîte noire » car il n'est pas rattaché à une définition publique et peut évoluer arbitrairement, ce qui réduit voire détruit l'interopérabilité. Un exemple bien connu de standard est le format de fichier texte .doc du logiciel Microsoft Word.
Apports d'une normalisation
Il est communément admis que le statut de norme est important à plusieurs égards. Quelques avantages évidents :
- visibilité des dispositions Dvorak
- on peut espérer que la normalisation d'une disposition de clavier Dvorak pour la langue française permettrait d'encourager les utilisateurs potentiels à faire la transition depuis une disposition classique, type azerty. Dans la situation actuelle (sans disposition « officielle »), certains d'entre eux sont sans doute moins disposés à se risquer à ce changement ;
- inclusion par défaut dans la plupart des gestionnaires d'Interface-Homme-Machine à clavier ;
- mise à disposition de matériel adapté dans le commerce
- certains fabricants de clavier fournissent déjà leurs produits dans des versions Dvorak (principalement pour la langue anglaise), mais ils sont rares. L'effet incitatif d'une normalisation pourrait être important ;
- mise à disposition de matériel didactique adapté
- une normalisation inciterait les éditeurs de programmes et de leçon de dactylographie à faire adapter leurs produits pour le Dvorak francophone, augmentant d'autant sa visibilité.
Reconnaissance par un organe officiel
Il existe plusieurs organismes qui seraient susceptibles de valider une telle normalisation. On sait qu'une disposition Dvorak canadienne a déjà été normalisée par l'ACNOR (Association canadienne de normalisation). Un candidat intéressant serait donc son homologue français, l'AFNOR, qui possède d'ailleurs un sous-comité (nommé SC35) dédié aux interfaces utilisateurs et qui a déjà validé certaines sortes de dispositions de clavier bien spécifiques. Voir sur le site du sous-comité pour plus d'informations.
Un premier pas serait de contacter un représentant de ce sous-comité (ou peut-être du secrétariat de l'AFNOR) afin de se renseigner au sujet des modalités de mise à l'étude d'un nouveau standard. (À faire...)
L'ISO à également un grand nombre de disposition standardisée à son actif. Néanmoins, en tant qu'indépendant, il nous sera peut-être plus difficile de se faire entendre auprès d'eux...
Ébauches de lettre pour l'AFNOR
[Par John Smith] J'ai fait un petit bout de lettre que nous pourrions envoyer à leur centre d'information (norminfo@afnor.org). Toutes les suggestions sont les bienvenues (je commence à la première personne du singulier puis au pluriel).
La raison pour laquelle je vous écris est que je fais partie d'une communauté de personnes qui aimeraient faire normaliser une disposition clavier spécifique à la langue française: la disposition Dvorak.
On retrouve une disposition Dvorak dans de nombreuses langues. Cette dénomination, désigne une dispositions des touches de clavier qui à été élaborée en prenant compte (entre autres) de la fréquence des lettres dans la langue cible afin d'assurer un maximum d'ergonomie, aboutissant notamment à une fatigue musculaire moindre et une frappe plus rapide.
L'utilisation des dispositions Dvorak est déjà passablement populaire, notamment aux État-Unis et au Canada. C'est d'ailleurs dans ce dernier pays que l'ACNOR (votre homologue Canadien) a fait normaliser une disposition Dvorak qui leur est propre; et c'est pourquoi nous nous tournons vers vous aujourd'hui.
Nous manquons de connaissances dans le domaine de la normalisation, et nous serions intéressés d'avoir un peu plus d'informations sur ce sujet. Notamment à propos du processus d'inscription, le temps de mise à l'étude et, plus particulièrement, le coût d'une telle démarche. Je crois savoir d'ores-et-déjà que le sous-comité concerné est le SC35, qui s'occupe des interfaces utilisateurs.
En espérant que vous serez en mesure de nous renseigner, je vous fais part de nos de nos sentiments les meilleurs.
Sincèrement
Comité Dvorak-Fr
Une autre :
Je représente une communauté de personnes qui souhaitent doter la langue Française d'une disposition de clavier spécifique, dérivée des travaux d'August Dvorak.
Cette disposition dite « Dvorak » désigne une nouvelle façon de répartir les touches sur un clavier afin d'en améliorer l'ergonomie. Reposant, entre autres, sur l'analyse de la fréquence des lettres et de leur répartition dans la langue française, la méthode Dvorak permet d'obtenir une disposition qui limite la fatigue musculaire et rend la frappe plus fluide.
Les claviers Dvorak sont déjà relativement populaires, aux États-Unis et au Canada par exemple, où l'agence de normalisation (ACNOR) a approuvé une disposition Dvorak Canadienne. Ces méthodes ont été appliquées à de nombreuses langues mais il n'existe encore aucune norme Française définissant un clavier de référence, et c'est la raison pour laquelle je vous contacte aujourd'hui.
Nous sommes en passe de terminer notre travail de conception, mais nous manquons sérieusement de connaissances dans le domaine des conditions et procédures de normalisations. Nous souhaiterions donc recevoir quelques informations concernant le processus d'inscription et de validation ainsi que le coût d'une telle démarche.
Je crois savoir que le sous-comité SC35 s'occupe plus particulièrement des interfaces hommes machines. Si c'était le cas, nous souhaiterions également les contacter afin d'amorcer une discussion concernant les points les plus techniques.
Je vous prie d'agréer mes sincères salutations
John Smith
Au nom du comité d'élaboration et de promotion d'un clavier dvorak-fr
À propos du clavier canadien français normalisé par l'ACNOR
Il existe un clavier canadien français normalisé par l'ACNOR (Association canadienne de normalisation). En France, les interlocuteurs seraient l'AFNOR (Association française de normalisation) ou bien le CEN (Comité européen de Nnormalisation) ou encore l'ISO (International Organization for Standardization). En tout état de cause, l'ISO a déjà édicté normes pour des claviers :
- ISO/CEI 15412:1999 Septembre 1999 Technologies de l'information - Dispositions de clavier pour ordinateur portable
- ISO/CEI 9995-1:1994 Septembre 1994 Technologies de l'information. Disposition des claviers conçus pour la bureautique. Partie 1 : principes généraux pour la disposition des claviers
- ISO/CEI 9995-2:2002 Septembre 2002 Technologies de l'information - Disposition des claviers conçus pour la bureautique - Partie 2 : module alphanumérique
- ISO/CEI 9995-3:2002 Septembre 2002 Technologies de l'information - disposition des claviers conçus pour la bureautique - Partie 3 : dispositions complémentaires de la zone alphanumérique du module alphanumérique
- ISO/CEI 9995-4:2002 Septembre 2002 Technologies de l'information - Disposition des claviers conçus pour la bureautique - Partie 4 : module numérique
- ISO/CEI 9995-5:1994 Septembre 1994 Technologies de l'information. Disposition des claviers conçus pour la bureautique. Partie 5 : module d'édition
- ISO/CEI 9995-6:1994 Septembre 1994 Technologies de l'information. Disposition des claviers conçus pour la bureautique. Partie 6 : module de fonctions.
- ISO/CEI 9995-7:2002 Décembre 2002 Technologies de l'information - Disposition des claviers conçus pour la bureautique - Partie 7 : symboles employés pour la représentation des fonctions
- ISO/CEI 9995-8:1994 Septembre 1994 Technologies de l'information. Disposition des claviers conçus pour la bureautique. Partie 8 : affectation de lettres aux touches d'un pavé numérique
Étendue de la normalisation
À partir de la Version_1.0rc1 du bépo il a été décidé que ne seront normalisés que les caractères de la carte simplifiée, sans {Ê} ni CapsLock ; ces deux touches et les autres caractères seront implémentées dans le pilote officiel au titre de simples recommandations.
Échange de courriels avec l'AFNOR
Cet échange a été initié par Stéphane
Stéphane -> JF Legendre, le 2 oct 2008
Bonjour,
Je fais partie d'un groupe d'utilisateurs de matériel informatique en train de concevoir un nouvel agencement de clavier. Notre objectif est de créer un clavier conformément aux travaux du Docteur Dvorak. Ce type de clavier doit apporter un plus grand confort de frappe, et doit ainsi éviter toutes les maladies qui sont liés à l'ergonomie (ou plutôt l'absence d'ergonomie) d'un clavier ordinaire, et en particulier les fameux TMS dont on entend beaucoup parler actuellement.
D'autre clavier « Dvorak » sont normalisés dans d'autres pays pour d'autres langues. Mais il n'existe malheureusement pas de normes pour la langue française. C'est à cela que l'on essaie de remédier. Pour plus d'informations, vous pouvez consulter le site de cette disposition à l'adresse http://www.clavier-dvorak.org/.
Je ne sais pas si d'autres personnes de mon groupe ont tenté de vous contacter. Si c'est le cas, je vous prie de m'excuser pour ce « doublon ». En fait, je vous écris parce que, alors qu'après plusieurs années de discussions et compromis, nous sommes sur le point de sortir la version définitive de notre clavier, je ne sais toujours pas comment faire pour que celle-ci soit normalisée.
Pourriez-vous m'indiquer la marche à suivre ou au moins me diriger vers la personne à qui demander, afin d'obtenir une normalisation pour cette disposition de clavier ?
D'avance merci.
Kore, S. Veyret
Réponse du 3 oct
Bonjour Monsieur,
Je vous remercie de nous solliciter sur votre projet. Nous sommes toujours attentifs aux besoins remontés par des utilisateurs.
Ceci étant, il existe une norme internationale en matière de claviers : l'ISO 9995, qui est largement soutenue par les fournisseurs informatiques et donc très largement implémentée (l'essentiel des claviers du marché).
Dans le domaine informatique, vous le savez sans doute, la logique d'un marché mondialisé prime et, objectivement, une action au seul plan national a de fortes chances de ne recueillir que très peu de soutien des communautés de normalisation. Bien sûr, il est toujours possible de proposer des amendements/compléments à la norme internationale.
Il vous faut cependant savoir que le mode d'adoption d'une norme est la logique du consensus sur la base d'une représentativité suffisante des différentes parties prenantes, ce qui suppose - selon la définition ISO - l'absence de substantielle opposition.
AFNOR est une association de type loi de 1901, indépendante de l'état. Ses adhérents sont des acteurs privés (grandes entreprises comme FT, IBM, Microsoft, EADS...), et pour une partie seulement, des acteurs publics.
Nous nous attachons donc à ce que le financement des actions que nous menons soit équilibré dès le départ.
Ainsi, nous recommandons une démarche en plusieurs étapes et en premier lieu une étude auprès de quelques donneurs d'ordre et fournisseurs de technologies, qui permettrait de valider l'opportunité du besoin.
Le budget pour réaliser une telle étude resterait dans des limites raisonnables (10 jours de travail au prix de journée AFNOR de 1175 € en 2008), et nous pourrions vous faire une offre de service en ce sens.
Pour aller plus loin, dès lors que l'étude serait positive, j'imagine qu'il faudrait rechercher un cadre pour assurer le financement du projet.
Cordialement
Jean-Franois LEGENDRE Responsable Dveloppement
Secteur "Information et Communication"
Stéphane, le 6 oct
Bonjour,
Merci pour toutes ces informations. Ci-après, ma réponse :
> > Ceci étant, il existe une norme internationale en matière de claviers : l'ISO 9995, qui est largement soutenue par les fournisseurs informatiques et donc très largement implémentée (l'essentiel des claviers du marché). > > > > Dans le domaine informatique, vous le savez sans doute, la logique d'un marché mondialisé prime et, objectivement, une action au seul plan national a de fortes chances de ne recueillir que très peu de soutien des communautés de normalisation. Bien sûr, il est toujours possible de proposer des amendements/compléments à la norme internationale.
Nous ne souhaitons absolument pas aller contre cette norme. Cependant, la « part 3 » de l'ISO 9995 qui définie la partie alphanumérique du clavier, s'adapte déjà en fonction d'autres normes, qui varient en fonction des pays, puisque les agencements de claviers peuvent être par exemple QWERTY, QWERTZ ou encore, en France, AZERTY. Les modifications sur lesquels nous avons travaillé sont uniquement à ce niveau là.
> > Il vous faut cependant savoir que le mode d'adoption d'une norme est la logique du consensus sur la base d'une représentativité suffisante des différentes parties prenantes, ce qui suppose - selon la définition ISO - l'absence de substantielle opposition.
Oui, et c'est justement par consensus que notre agencement de clavier a évolué jusqu'à présent, et nous comptons continuer ainsi jusqu'à la future version 1.0. Bien sûr, ce consensus s'est fait à partir des différentes personnes qui se sont inscrites à notre groupe, c'est-à-dire certainement sans une grande partie des acteurs du monde de l'informatique d'aujourd'hui. Mais je ne vois pas pourquoi ceux-ci refuseraient cette norme… :-)
> > AFNOR est une association de type loi de 1901, indépendante de l'état. Ses adhérents sont des acteurs privés (grandes entreprises comme FT, IBM, Microsoft, EADS...), et pour une partie seulement, des acteurs publics. > > > > Nous nous attachons donc à ce que le financement des actions que nous menons soit équilibré dès le départ. > > > > Ainsi, nous recommandons une démarche en plusieurs étapes et en premier lieu une étude auprès de quelques donneurs d'ordre et fournisseurs de technologies, qui permettrait de valider l'opportunité du besoin. > > > >Le budget pour réaliser une telle étude resterait dans des limites raisonnables (10 jours de travail au prix de journée AFNOR de 1175 € en 2008), et nous pourrions vous faire une offre de service en ce sens. > > > >Pour aller plus loin, dès lors que l'étude serait positive, j'imagine qu'il faudrait rechercher un cadre pour assurer le financement du projet.
Notre groupe n'ayant aucun intérêt financier, il nous sera difficile de financer quoi que ce soit. Cependant, des industriels se sont montrés intéressés, et devraient prochainement sortir un clavier basé sur notre étude. Peut-être seront-ils, eux, motivés pour faire établir la norme… Il est a noter que l'adoption de cet agencement de clavier ne nécessite aucun financement de notre part. Ce sont les fabriquants de claviers qui veulent adopter cet agencement qui devront adapter leurs outils (investissement qui reste mince, puisque les claviers sont déjà fabriqués avec plusieurs agencements).
Encore merci pour votre aide.
Cordialement,
S. Veyret
JF Legendre, le 6 oct
Bonjour,
Merci beaucoup de votre réponse qui va effectivement dans le sens que nous avions pressenti.
(Autre piste : regardez aussi si un projet ne pourrait pas faire l'objet d'un financement auprès d'un des guichets publics (ANR...) si des industriels et des organismes de recherche vous suivent - soit directement, soit via une labélisation par un pôle de compétitivité (le groupe thématique LL de Systematic par exemple ?)
Jean-François LEGENDRE