« Plaquette » : différence entre les versions
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Ligne 66 : | Ligne 66 : | ||
== Histoire du clavier == | == Histoire du clavier == | ||
T1 Un petit peu d'histoire… | |||
T2 ABCD et Qwerty | |||
En 1968, Christopher Sholes déposait un brevet sur sa nouvelle invention : la machine à écrire. Les touches du clavier était naturellement disposées en ordre alphabétique. Puis il remarqua un problème technique sur sa machine, lorsqu'il frappait une touche la tige ne redescandait pas assez vite et elles avaient tendances à se coincer lorsqu'on tapait deux touches voisines. La première solution de Sholes a été de séparer physiquement les diagrammes les plus fréquents, ainsi les tiges s'entrochoqueraient beaucoup moins. On lui suggéra aussi de mettre toutes les lettres du mot « typewriter » sur la ligne du haut pour aider les futures vendeurs. Ainsi est née la disposition QWERTY. | |||
T2 Du Qwerty à l'Azerty | |||
Très peu d'information… sur le pourquoi de l'azerty | |||
== Installation et logiciel libre == | == Installation et logiciel libre == |
Version du 21 octobre 2008 à 16:45
Bon voici la plaquette http://moipetit.free.fr/bepo/plaquette-02.pdf et http://moipetit.free.fr/bepo/plaquette-02.sla (fait avec scribus). Tiot 14 octobre 2008 à 13:16 (CEST)
- 11 : logo du bépo, + images + slogan
- 12 : Apprentissage
- 13 : Clavier
- 21 : Pourquoi apprendre le bépo
- 22 : l'histoir du clavier
- 23 : installation + LL
- T1 = titre 1
- T2 = titre 2
Apprentissage
T1 : Apprentissage
T2 : Position des doigts
Les index se placent sur F et J : ces touches disposent le plus souvent d'une marque sensible sous les doigts. Sur un clavier Azerty, la main gauche occupe alors les positions QSDF, la main droite est sur JKLM. Les poignets hauts aident à laisser pendre les doigts naturellement sur ces touches. Quand on fait une faute de frappe, il est important de revenir à la position de repos avant de corriger.
T2 : Affecter un doigt et un seul à chaque touche
La pratique aidant, cette méthode permet de développer la mémoire musculaire des doigts. On parle de schéma moteur, comme pour tout geste technique — c’est particulièrement flagrant chez les musiciens et les sportif, mais en fait présent dans tous les gestes du quotidien. On peut ainsi taper sans y penser et surtout sans avoir à regarder autre chose que l'écran.
T2 : Ne JAMAIS regarder le clavier
Il n’est pas judicieux de placer des étiquettes ou des autocollants des lettres de la disposition sur les touches du clavier si l’on cherche réellement à obtenir une frappe sans regarder le clavier. L’apprentissage d’une disposition de clavier est l’occasion d’apprendre à taper à dix doigts sans regarder le clavier ! Il est recommandé de placer à l’écran ou d’imprimer sur un papier facilement accessible une image de la disposition afin de s’en servir comme modèle mais de ne surtout pas modifier l’apparence ou l’agencement des touches de son clavier physique.
Non seulement regarder le clavier ne sert à rien mais ça fait perdre du temps et ça fatigue : la « mémoire musculaire » est plus rapide et demande moins d'énergie que la mémoire visuelle. Pour la phase d'apprentissage, il est vivement recommandé de masquer le clavier en étalant un linge sur ses mains. Quand on fait une faute de frappe, la règle est simple : on prend le temps de retrouver les touches de base [F] et [J] sous les index, on replace les autres doigts dans leur position de repos, et on réessaye — le tout, sans se presser.
T2 : Logiciels
Une liste de logiciel de dactylographie est disponible sur http://www.clavier-dvorak.org/wiki/Apprentissage
Pourquoi apprendre le bépo
T1 : Pourquoi apprendre le bépo ?
T2 : Fluidité
La position des caractères et symboles permet de : – « sortir » le moins de fois possible les doigts de la ligne de repos. Elle contient les caractères AUIE, à gauche et TSRN à droite. En bépo 61 % de la frappe se fait sur la ligne de repos contre 21 % en azerty ; – répartir équitablement le nombre de frappes entre main gauche et main droite ; – réduire la distance totale parcourue par le doigts ; – réduire le nombre de digrammes à une main ; – ne jamais avoir recours à la rangée du haut du clavier (les chiffres et symboles) pour un texte en français ; – utiliser tous les types de claviers (dont les 104 touches tels que le sont souvent les claviers ergonomiques) sans perte d’efficacité ; – simplifier les digrammes avec la rangée inférieure du clavier sous la main gauche (zone peu accessible sur les claviers décalés).
Il en résulte un très grand confort d’utilisation. Une impression de facilité et de moindre fatigue. Bien que nous ne disposions pas de chiffres certains estiment qu’on tape plus vite et plus longtemps avec une disposition optimisée.
T2 : Apprentissage
Plusieurs facteurs rendent l’apprentissage du bépo plus facile que celui d’autres dispositions : – accès immédiat à tous les caractères courants ; – optimisation des digrammes courants ; – logique de placement des caractères et symboles permettant de les trouver sans difficulté, même s’ils sont peu utilisés.
Ces éléments permettent d’apprendre rapidement le clavier par cœur et d’acquérir très vite les réflexes pour taper les digrammes et trigrammes courants.
T2 : Caractères disponibles
Sans qu’aucune concession n’ait été faite pour l’usage du français et des langages de programmation, le bépo permet d’accéder directement à de nombreux symboles et caractères accentués des langues étrangères. En particulier toutes les langues officielles de l'Union Européenne sont disponibles, mais aussi l’alphabet grec, tous les symboles monétaires, les chiffres en index et en exposant, ou les caractères typographiques des autres langues tels « ¿ » ou « „ »
Histoire du clavier
T1 Un petit peu d'histoire…
T2 ABCD et Qwerty
En 1968, Christopher Sholes déposait un brevet sur sa nouvelle invention : la machine à écrire. Les touches du clavier était naturellement disposées en ordre alphabétique. Puis il remarqua un problème technique sur sa machine, lorsqu'il frappait une touche la tige ne redescandait pas assez vite et elles avaient tendances à se coincer lorsqu'on tapait deux touches voisines. La première solution de Sholes a été de séparer physiquement les diagrammes les plus fréquents, ainsi les tiges s'entrochoqueraient beaucoup moins. On lui suggéra aussi de mettre toutes les lettres du mot « typewriter » sur la ligne du haut pour aider les futures vendeurs. Ainsi est née la disposition QWERTY.
T2 Du Qwerty à l'Azerty
Très peu d'information… sur le pourquoi de l'azerty