Discussion:Glossaire

De Disposition de clavier bépo

À propos du glossaire

Avantages :

  • fonctionne tout seul (voir ci-dessous) ;
  • permet de se décharger d'explications redondantes dans les articles ;
  • fait le lien entre les notions à travers les définitions comportant des liens, internes et externes au wiki.
  • peut gérer les pluriels et les alias : il suffit de créer plusieurs redirections vers la même entrée.

Création de liens vers les mots du glossaire

Une utilisation intelligente du glossaire est de créer des liens qui pointent automatiquement vers un mot du glossaire. Pour ce faire, on utilisera une redirection transparente amenant vers l'anchor du mot (le titre de la section). Voici un exemple concret avec le mot « modificateur » :

  • étant entendu qu'on ne souhaite pas avoir de page intitulée « modificateur » ou « touche de modification », par exemple parce que Wikipédia et/ou d'autres sites sont très complets à ce sujet ;
  • mais constatant qu'on souhaite quand même que le lecteur puisse savoir l'essentiel sur cette notion, sans sortir du wiki du projet bépo ;
  • méthode — on pourra procéder comme suit :
    1. ajouter une entrée « Modificateur » à la lettre M du glossaire. Y donner une définition courte, précise, si possible illustrée d'un exemple pratique. Ne pas oublier de mentionner un lien vers un article externe plus complet, typiquement l'article de Wikipédia (ne pas utiliser la syntaxe [[wp:Nom de l'article|Nom de l'article]], mais faire un vrai lien externe sous la forme [http://www.[…] Nom de l'article] car cela permet de signaler à l'utilisateur, grâce à une icône juxtaposée au lien, qu'il va se retrouver sur un autre site après avoir cliqué) ;
    2. créer un article Modificateur et y placer #REDIRECT [[Glossaire#Modificateur]], qui est une redirection automatique vers l'entrée du glossaire créée à l'étape précédente. L'#ancre doit correspondre au titre de la section créée !

Et voilà ! Tous les liens [[modificateur]] (Modificateur) renverront vers l'entrée « Modificateur » du glossaire. Jd avril 2008.

Je trouve que la méthode de la redirection est du bricolage, bonne uniquement comme solution temporaire : tout lien vers le glossaire devrait directement pointer sur ce dernier. Ainsi, en passant ma souris au dessus du lien, je vois directement que c'est dans le glossaire, et non dans une page dédiée. Avec la redirection, ça ne se voit pas. Sans parler bien sûr du fait que les redirections médiawiki ne sont pas des redirections HTTP, avec tous les problèmes que cela entraine (SEO, par exemple). --Loup 18 septembre 2009 à 09:21 (CEST)
Je crois que tu n'as pas bien compris le principe d'un wiki : si tu veux remplacer les redirections vers des liens directs sur toutes les pages libre à toi ! Juste fait le. A2 19 septembre 2009 à 02:40 (CEST)
OK. --Loup 22 septembre 2009 à 09:43 (CEST)

 Source pour l’entrée glossaire et la redirection *erty ?

Je n’ai jamais vu cette appellation nulle part. Quelqu'un aurait une source ? L'article et la définition me semblent peu pertinents sans source, ceci d'autant qu'elle la notion fait l'impasse sur le qwertz et bien d’autres variantes du qwerty. J'ajoute qu'il est très peu probable que quelqu'un fasse une recherche sur ce « *erty » sur le wiki. Si l’on veut clarifier l'espace de nom principal (cf. les ménages fréquents) il faudrait éviter de créer ce genre de page tant que ce n'est pas un besoin réel. A2 17 septembre 2009 à 02:01 (CEST)

Personne ? A2 1 février 2010 à 02:16 (CET)
J'ai mis « **ert* » mais je ne suis pas plus convaincu que ce « *erty »… Il vaudrait mieux se créer trois articles azerty, qwerty et qwertz et y stocker petit à petit les infos qu'on trouve, défauts et qualités, s'il y'en a… A2 1 février 2010 à 02:52 (CET)

**ert*

Dans le glossaire, à l’entrée **ert*, une édition récente qualifie l’azerty de qwerty francisé et le qwertz de qwerty germanisé.
Les Québécois utilisent des qwerty francisés qui sont restés des qwerty.
Les Suisses romands tapent généralement en qwertz, un qwertz où, au lieu des ö, ä, ü des claviers allemands, on trouve les é, à, è du français.
De plus, si, sur les azerty français, on voit généralement « Verr. Maj. », « Impr. Écr. », « Début », « Fin »…, sur tous les azerty belges que j’ai pu voir jusqu’à présent, c’est toujours « Shift Lock » (ou peut-être parfois « Caps Lock », à vérifier), « Prt Scr », « Home », « End »…
Les claviers francisés ne sont donc pas tous des azerty et les claviers azerty ne sont pas tous en français.
Des claviers azerty sont aussi utilisés pour le wolof, avec accès direct aux lettres ã, ñ, ŋ et ó, et en RDC, pour les langues congolaises, avec accès direct aux lettres æ, œ, ʉ, ɨ, ø, ɛ et ɔ ainsi qu’à quelques diacritiques.

Pour les qwertz, je viens de dire qu’ils sont omniprésents en Romandie pour le français.
On en trouve aussi en Albanie, en Croatie, en Hongrie (qui y a trouvé de la place en accès direct pour 9 lettres accentuées) et en Slovénie.
En Pologne qui, historiquement, utilise des claviers qwertz, les claviers qwerty sembleraient, d’après ce que j’en ai lu, avoir gagné la bataille.
La Tchéquie, la Slovaquie et la Roumanie connaissent aussi une concurrence entre claviers qwertz et qwerty.

Ce que je veux dire, c’est que la distribution des principaux layouts n’est pas vraiment linguistique (francisé, germanisé) mais plutôt géographique (France, Belgique et quelques anciennes colonies pour l’azerty, Allemagne, Autriche, Suisse, et quelques pays voisins d’Europe centrale pour le qwertz).

Question subsidiaire : les claviers qüerty azéris et les ąžerty lithuaniens sont-ils des claviers **ert* ?

Tohuvabohuo 21 octobre 2012 à 19:52 (UTC)

Espace fine insécable

Elle mériterait un paragraphe à part. Elle est de mise devant les doubles ponctuations. Et la phrase "attention elle n’est gérée que par les polices de haute-volée" ne semble plus d’actualité. Dans libre office, elle est très bien gérée par arial, times, luciole, verdana... Il semblerait que ce soit plus une question de logiciel que de police. L’obstacle à la popularisation de l’insécable est que, semble-t-il, word ne la prend pas en charge.